Aimez-vous votre corps?

Environ 90 % de la population est insatisfaite de son corps ou de celui des autres.

Certains se trouvent trop gros, ou estiment que d’autres sont trop gros. Les uns se trouvent trop minces ou jugent les autres trop minces.

Ces jugements démontrent votre mal-être intérieur, ces jugements vous appartiennent. Les autres sont le reflet de votre mal-être, de votre non-acceptation de vous-même.

Vous les jugez de mal se nourrir. Est-ce que vous vous jugez de mal vous nourrir ? Vous vous rendez compte que vous mangez trop et  vous avez peur de grossir ? 

Ce problème de la perfection de votre corps part de loin…!

Tout commence avec les blessures de l’âme ou de l’enfant. Prenons par exemple le rejet et  l’injustice. Le corps des gens qui souffrent principalement de la blessure du rejet  sont très minces, filiformes. Ils estiment qu’ils ne sont pas importants, qu’ils n’ont pas confiance en eux-mêmes. Ils veulent juste disparaître de la terre. Je ne compte pas pour qui que ce soit.

Les gens qui souffrent principalement de l’injustice, (le masque du rigide) sont des perfectionnistes, ne veulent pas de ventre et surtout pas de bourrelet. Les rigides travaillent sans compter leurs heures jusqu’à ce qu’ils soient déprimés, épuisés ou gravement malades. 

Les personnes rigides croient que s’ils sont parfaits ou espèrent être parfait afin que leurs collègues de travail, patrons, parents les aimeront, les admireront.

Ces gens avec ces deux blessures vont facilement juger les personnes obèses en attribuant qu’ils ne prêtent pas attention à eux, qu’ils mangent trop. 

Comment guérir vos blessures d’enfance ?

N’attendez pas une épreuve avant de réagir!

La guérison n’est pas un processus isolé, vous avez besoin d’aide d’un professionnel. Il faut persévérer et faire preuve de patience, la méthode d’Écoute ton corps, vous donne tous les outils nécessaires pour une transformation rapide.

Si vous désirez commencer une transformation et découvrir l’origine de vos blessures et surtout comment les guérir rapidement.

Contactez sans attendre Carole Vallée

Consultante en relation d’aide 514-836-5222

 

Vous avez besoin d’aide ?

Vous vivez des moments difficiles !

L’angoisse, la peur, l’anxiété vous hantent !

Vous avez découvert des côtés de vous que vous ne connaissiez pas ?

Vous croyez que vous n’êtes plus au bon endroit dans votre vie ?

Réagissez rapidement TOUT EST POSSIBLE votre avenir est entre vos mains !

Toutes vos réactions sont normales, elles proviennent de votre passé non réglé.

Les différentes méthodes que j’utilisent sont efficaces et vous aideront à vous sentir de mieux en mieux très rapidement.

Les soins énergétiques vous aideront à vous énergiser positivement. Élever votre niveau vibratoire, afin d’avoir un système immunitaire plus fort.

La relation d’aide éclaircira toutes vos réactions que vous avez vécues pendant le confinement. Nous transmuterons ensemble cet état en une situation acceptable.

La constellation familiale vous aidera à comprendre le bagage que vous portez inconsciemment de votre clan familiale et qui vous ont causé beaucoup de réactions imprévisibles.

ENSEMBLE, NOUS EXPLORERONS vos angoisses, vos peurs

Nous les transmuterons en un état de bien-être et de plénitude !

Au plaisir de vous aider à reprendre votre vie, votre avenir et retrouver une vie paisible et heureuse.

Carole Vallée 514-836-5222

Avez-vous peur de la mort ?

Lorsque j’étais plus jeune, et qu’on discutait de la mort, certains croyaient qu’il n’y avait plus rien après la mort que s’était le néant. Je n’y croyais pas, ce n’était pas logique ! Je leur répondais que faites-vous des bébés naissants qui meurent ou des enfants qui décèdent après une maladie grave. Si je comprends bien votre logique on devrait tous se suicider pour arrêter de souffrir de vivre des épreuves, ça donne quoi ? Si on ne revient plus jamais ? Ce qui m’a amené à lire énormément sur le sujet, j’ai retrouvé plusieurs similitudes dans chacun de ces livres.

Dernièrement, j’ai découvert un livre extraordinaire qui va encore plus loin. L’auteur Dolores Cannon, Conversation avec l’au-delà, vous trouverez ci-dessous un résumé de son livre.

Dolores Cannon se documente en hypnotisant les personnes qui sont cliniquement mortes. Elle parle avec leur subconscient ainsi qu’avec leurs guides  afin d’aller plus en profondeur de leur expérience de mort imminente.

En résumé : N’ayez pas peur de la mort, ce n’est qu’une transition, un changement de dimension que vous allez vivre. C’est comme si vous rêviez, les personnes qui ont témoigné disaient qu’elles se sentaient tellement bien, légères, libérées de leur corps souffrant. Elles ne voulaient plus revenir.

La religion catholique nous a tenus dans l’ignorance, dans la peur pendant des siècles, ils nous ont fait croire aux péchés, à l’enfer, au purgatoire afin d’expier nos péchés ils nous gardaient petits et dociles. Heureusement on y croit de moins en moins grâce à des auteurs et même des scientifiques qui ont maintenant des preuves que la vie après la mort existe bien.

Lors de notre mort, l’âme va dans un endroit qu’on appelle l’aire de repos pour réfléchir à ce qu’on a fait, ce qu’on a vécu. Aucune punition nous est infligée, aucun jugement de la part de nos guides ou de la source, ils ne sont qu’amour et nous guident pour notre prochaine vie afin de corriger nos actes, nos gestes, tout en étant dans le non-jugement seulement que de l’amour pur.

Lorsque vous mourez, vous rencontrerez des êtres chers, vous discuterez avec eux de ce que vous avez vécu et vous déciderez ensemble de corriger certains événements dans une prochaine vie. L’âme n’est pas obligée de revenir sur terre, mais sachez que lorsque vous revenez sur terre, votre âme s’améliore, se transforme plus rapidement. Le but est d’épurer notre âme, de vie en vie, afin d’aller rejoindre le 9e plan qui est la source.

Si vous êtes tourmentés et négatifs face à votre mort, si vous croyez que c’est le néant, que vous avez qu’une vie et que tout est fini après. C’est ce que vous vivrez dans l’autre dimension. Après un certain temps, vos guides vous aideront à vous diriger vers la lumière vers une ouverture de conscience.

Par contre, si vous êtes une personne qui croyez que votre âme mérite ce qu’il y a de mieux que vous croyez à une vie après la mort. Vous irez dans un endroit de repos, rencontrer les gens que vous avez côtoyés et vous ferez le bilan de votre vie. Vous pouvez demeurer à cet endroit très agréable et magnifique pendant tout le temps que vous désirez.

Par la suite, vous rencontrerez vos guides et discuterez de vos buts, de ce que vous désirez vivre, expérimenter dans votre prochaine vie. Quelle blessure désirez-vous guérir et quelles épreuves allez-vous choisir pour guérir votre âme ? Et oui ! c’est vous qui choisissez vos épreuves, vos maladies, vos bonheurs dans le but de comprendre, de corriger des gestes d’une vie antérieure.

Il y a 9 plans spirituels, la terre se trouve au 5e plan, elle est en train de se purifier. Bonne nouvelle, les personnes malveillantes, les tyrans, les assassins lorsqu’ils meurent ne reviennent plus sur la terre, ils vont terminer leurs karmas sur une autre planète qui se trouve dans un bas astral. (Je vous suggère de lire le livre de Dolores Cannon, Les Gardiens, qui vous apprendra que nous ne sommes pas la seule planète habitée et bien d’autres découvertes sur les extra-terrestres)

Pour en savoir plus sur Dolores Cannon, allez écouter ces entrevues sur YouTube et elle a écrit une quinzaine de livres, sur la mort, les extraterrestres. Elle est très inspirante et elle éveille les lecteurs à une nouvelle dimension que peu de gens sont conscients. Éveillez-vous à différentes possibilités, tout est possible !

N’hésitez pas à me donner vos commentaires ou prendre rendez-vous 514.836.5222

Histoire vraie : Burn-out et dépression

Histoire de Mélanie

«Je suis l’aînée d’une famille de quatre. Lorsque j’étais petite, ma mère s’occupait de moi, j’étais sa poupée, elle était toute à moi.  Lorsque mon frère est né, j’avais trois ans et je ne comprenais pas pourquoi elle ne s’occupait plus de moi. Je trouvais cela injuste, j’avais besoin de ma mère, mais elle s’occupait toujours de mon frère, en plus, il était malade durant sa première année. Je faisais tout pour que mes parents me remarquent. J’étais turbulente, je pensais toujours à faire de plus en plus de mauvais coups. Lorsque mes parents me disputaient, j’avais réussi, enfin ils s’occupaient de moi !

Quand mon deuxième frère est arrivé, ce fut pour moi la fin. Je perdais ma mère à tout jamais. Elle s’occupait de mes frères, jouait avec eux.  Mes frères ont été comblés, adorés, cajolés par ma mère, elle les adorait.

Elle me disait « Fais ta grande fille,  fais le ménage, ramasse les jouets de tes frères». Alors j’ai décidé d’être très gentille, je faisais tout pour obtenir l’attention de ma mère. Je me sentais complètement seule et rejetée par ma mère. Mon père était rarement à la maison. Alors je me suis repliée sur moi, je me disais que je ne valais pas la peine, que j’étais nulle. Toute ma vie, je me suis sentie rejetée par mes conjoints, amies, collègues.»

Répercussion sur sa santé

J’ai fait plusieurs dépressions et burn-out. Je donnais tout et encore plus au travail dans le but de me faire reconnaître par mes patrons et collègues. Ce n’était jamais assez, et naturellement mes patrons m’en demandaient toujours plus, encore plus, jusqu’à mon premier burn-out.

Quand j’arrivais, de travailler, je faisais le ménage, le souper, le lavage, la maison était impeccable. Toutes mes amies me disaient comment tu fais pour tout faire, je n’étais jamais fatiguée, et si mes amis ou familles avaient besoin de moi j’accourais pour les aider, les déménager ou faire du ménage. J’étais complètement épuisée, mon mari ne comprenait pas pourquoi j’étais aussi fatiguée.

Je devançais les besoins de mon mari, je les devinais. Mon mari était au petit soin. Afin qu’il m’aime de plus en plus. Je ne voulais pas le décevoir lui aussi. Je m’imaginais que si tout le monde était satisfait enfin on reconnaîtrait qui je suis, on m’aimerait !

Un jour, je me suis effondrée, fatiguée, déprimée, incapable de me lever de mon lit. Le docteur m’a dit : « Vous êtes en burn-out » MOI ! IMPOSSIBLE ! Je ne le croyais pas. Il doit se tromper. Il m’a demandé d’arrêter un mois, je ne l’ai pas écouté, après une semaine je suis retournée au travail.

Je pleurais tout le temps, j’avais honte d’être en burn-out, je m’accusais de ne pas être assez forte. Je m’accusais de décevoir tout mon entourage. Je ne pouvais concevoir que j’étais faible, MOI ! La femme forte de la famille qui a soutenu toujours ses frères ainsi que ma mère malade.

J’ai fait, 3 burn-out en 4 ans, je me suis dit, ça suffit et j’ai pris la décision de consulter Carole et comprendre mes blessures d’enfance, comprendre pourquoi j’avais tant besoin d’être aimée, reconnue, appréciée. J’étais fatiguée de me gaver de tous ses médicaments sans comprendre pourquoi ça m’arrivait.»

Maintenant, j’ai les outils pour me prendre en main, je sais quand je veux trop en faire pour me faire apprécier. Je reconnais qui je suis, je m’apprécie, je Soyez maître de votre vieconnais mes forces et mes faiblesses. Je n’ai plus besoin d’en faire trop pour me faire apprécier par les autres. J’ai enfin trouvé mon estime de moi. J’aime qui je suis ! Quel BONHEUR !!!

Est-ce que cette histoire te touche personnellement ?

  • As-tu vécu plusieurs dépressions ou burn-out?
  • Quel lien peux-tu faire avec ton enfance et ce que tu vis aujourd’hui ?
  • Est-ce que tu vis de la culpabilité? De l’angoisse de n’être pas parfait? De ne pas en faire assez?
  • Peux-tu voir que ton désir le plus profond est d’être aimé et reconnu par tes patrons, collègues, amis ou ta famille?
  • Quelle action prévois-tu faire dans les prochains jours?

Malheureusement, tu ne peux t’en sortir seul ! Il est important de consulter ton médecin et surtout de faire appel à des spécialistes afin de t’en sortir le plus rapidement possible.

Ensemble, on peut y arriver par des consultations et surtout des soins énergétiques afin de libérer les énergies négatives qui créent des blocages énergétiques dans ton corps.

Clique ici pour lire les témoignages des gens comme toi n’en pouvait plus !

Pour de l’aide, une écoute active. Contacte-moi 514.836.5222

«Les troubles anxieux et la dépression figurent parmi les problèmes de santé mentale les plus répandus dans les milieux de travail. On estime que, d’ici 2020, la dépression se classera au deuxième rang des principales causes d’incapacité à l’échelle mondiale, juste derrière les maladies cardiaques».

Les symptômes : L’épuisement professionnel peut se manifester par de nombreux symptômes d’ordre physiologique, psychologique, comportemental ou organisationnel :

Physiologiques

Fatigue et épuisement chroniques, infections virales persistantes, migraines, problèmes de concentration, troubles de sommeil, douleurs et tensions musculaires, problèmes de poids, désordres gastro-intestinaux, blessures dues à des comportements hautement risqués.

Psychologiques et émotionnelles

Dépression, désespoir, impuissance, désillusionnement, ennui, anxiété baissent de l’estime de soi, culpabilité, méfiance, isolement, insatisfaction, frustration, hyperirritabilité, colère, pertes de mémoire, périodes de confusion, découragement, pessimisme, cynisme, ainsi que des mécanismes de défense comme blâme sur les autres, rationalisation, déplacement et projection.

Comportementales

Absentéisme, toxicomanie, impatience, inflexibilité, baisse de créativité et d’initiative, problèmes de relations interpersonnelles, fréquents mouvements d’humeur, contacts superficiels, hyperactivité non productive, réactions excessives, diminution de la tolérance aux frustrations, désintérêt, désengagement, isolement, accroissement des risques pris au travail et dans les loisirs.

Organisationnelles

Baisse dans la qualité de services, climat d’hostilité, de compétition, de méfiance, conflits d’autorité, communication appauvrie, prise de décision ayant tendance à se faire isolément, augmentation des absences pour cause de maladie, augmentation du taux de roulement, retard au travail.

Source : Simoneau, Serge, La problématique du bur-nout, dans Forum sur le burn-out. Briser le cercle vicieux de l’impuissance, CSN, 1989, p. 6-7.

Histoire vraie de maltraitance

Histoire de Marie et de Maltraitance

« Déjà petite, je n’avais pas ma place dans ma famille.  Ma mère ne pouvait garder mes onze frères et sœurs. Ils ont donc décidé de me placer chez ma grand-mère avec deux de mes frères.  Elle était froide, exigeante, je devais tout faire dans la maison parce que j’étais une fille.  Elle me disait : une femme, ça sert à ça ! «À torcher les hommes et à avoir des p’tits». Chez ma grand-mère s’amuser passait en dernier. J’étais en colère, je ne comprenais pas cette injustice. Je haïssais profondément ma grand-mère. Elle n’était jamais contente, le ménage n’était jamais assez bien fait, elle me frappait et j’avais rarement le droit de sortir.

J’avais hâte de partir de chez elle, je suppliais ma mère de me reprendre. Ma mère était aussi très dure avec moi, elle me disait : «Ma petite fille, tu me remercieras plus tard, tu seras une bonne femme de maison! »

Aussitôt que j’ai rencontré un homme qui m’a accordé un peu d’attention et d’affection, je suis partie enfin de chez moi. J’avais 17 ans, malheureusement j’ai reproduit ce que je connaissais, la maltraitance physique et psychologique. Au début de notre relation, il était gentil, mais lorsqu’il buvait, il me battait, me diminuait, m’insultait. De cette relation, est née le plus beau cadeau que la ma vie m’a donné, ma fille adorable que j’aimais énormément.  Enfin j’avais un petit être qui m’appréciait, m’aimait pour qui j’étais. Je me suis toujours promis que jamais je ne maltraiterais mes enfants. J’ai enfin laissé cet homme pour malheureusement retombé dans les mains d’un charmeur.

J’étais traitée comme une reine avec lui. Des cadeaux, des voyages, sauf lorsqu’il buvait, il me battait et me diminuait. En plus, je ne savais pas que cet homme abusait de ma fille, je l’ai su plus tard et j’ai culpabilisé toute ma vie de ne pas avoir agi rapidement pour sortir ma fille de ce milieu.

Finalement, j’ai laissé cet homme, j’étais sans un sou avec deux enfants. J’ai ressenti toute ma vie de la rage, la rancœur envers les personnes de mon passé. J’en voulais au monde entier, de l’injustice que j’ai vécue avec ma mère, ma grand-mère ainsi qu’avec les hommes de ma vie. J’ai reproduis ce que j’ai connu de mon enfance dans mes relations avec les hommes.»

 Répercussion sur sa santé

Marie a été terriblement malade, une tumeur au cerveau l’a empêché de manger, de s’amuser, de faire tout ce qu’elle aimait faire. Elle était gavée et ne pouvait plus manger. Elle est décédée à 75 ans, amaigrie, vidée. Prisonnière de son corps comme de son enfance.

La culpabilité, la rage, la colère a été présente durant toute la vie de Marie. Elle a reproduit ce qu’elle a vécu dans son enfance avec sa grand-mère et sa mère par la maladie. La colère qu’elle a accumulée s’est transformée en tumeur au cerveau. Son cancer l’a empêché de s’amuser, de manger, de recevoir, de voyager.

La rage et la colère est  notre pire ennemi, elle gruge notre intérieur et va se loger dans un endroit dans notre corps pour nous faire comprendre que nous ne sommes pas dans le pardon, l’amour de soi et des autres.

Elle a aussi reproduit son enfance avec deux de ses trois hommes de sa vie. La méchanceté, l’abus psychologique, le contrôle, l’injustice. Marie était très exigeante envers elle-même, très sévère, comme sa grand-mère l’était avec elle. Elle allait au-delà de ses capacités. Elle ne respectait pas ses limites. Tout pour les autres, mais aucune douceur pour elle.  Dans ses paroles, on sentait toute sa haine, sa rancœur, sa frustration envers ceux qui l’ont maltraités physiquement et psychologiquement.

Inconsciemment, elle s’est autosabotée vers la fin de sa vie. Elle a eu une tumeur au cerveau, qui l’a empêché de vivre pleinement sa vie, car elle ne croyait pas qu’elle méritait l’amour de son dernier conjoint. Il était doux, affectueux, compréhensif mais Marie n’était pas habitué à recevoir autant d’amour autant d’attention.

Nous sommes très puissant ! On se sabote, en mangeant trop, en travaillant trop,  on ne respecte pas son corps. Notre âme nous parle à travers notre corps, écoutez-le, respectez-le.  La bonne nouvelle est que nous pouvons utiliser cette puissance intérieure pour s’autoguérir.

Définition de la tumeur au cerveau : Émotions refoulées, remords profonds, des souffrances du passé que je retourne contre moi. Choc émotionnel et violent relié à une situation ou une personne que j’ai beaucoup aimée auxquelles j’entretiens encore aujourd’hui de la haine, de la rancune, des peurs, de la colère et des frustrations, je dois me dépasser à tout prix! Mon corps réagit fortement et surgit alors une production hors contrôle de certaines cellules du cerveau[1]

Réflexion sur ta vie

Fais-tu des liens avec ce que tu vis et celle de Marie ?

  • As-tu vécu la violence physique avec un de tes parents?
  • Quel lien peux-tu faire avec ce que tu vis maintenant?
  • As-tu une maladie grave ou incurable?
  • Es-tu violent(e) avec tes enfants, conjoint(e)?
  • Comment vis-tu avec cette violence intérieure?
  • Est-ce que tu es bonasse? Une personne qui ne se choque jamais? De peur d’être comme ton parent.
  • Cette colère qui dort en toi se démontre comment dans ta vie de tous les jours? Par l’impatience, la rancœur, la rage au volant, la maladie, la bouderie, la fuite, le silence

Méthode thérapeutique suggérée 

Écris une lettre à ton parent violent en 4 phases.

Commence ta lettre par le prénom du parent violent ou abuseur

  • 1re phase : Tu inscris tout ce que tu n’as jamais dit à ton parent, toute la haine, la colère, dois être écrite, permets toi d’écrire des mots durs, méchants, violents. Il faut que cette colère sorte à tout prix. Cette phase est primordiale pour ta guérison. Prends tout ton temps, ce n’est pas en une journée que ta colère enfouie très profondément sortira. Cette phase peut prendre plusieurs semaines à écrire. Laisse cette lettre à la vue, près de toi et lorsque des ressentiments montent, écris-les. Car la rage et la colère sont les pires ennemis pour ta santé globale.

Lorsque tu sentiras la paix s’installer en toi, lorsque tu sentiras de l’amour envers ce parent. Tu sauras qu’une bonne partie de cette colère s’est libérée.  À partir de ce moment, tu pourras commencer la 2e phase.

  •  2e phase: Maintenant, tu es prêt à écrire toute l’empathie que tu ressens envers ce parent. (L’empathie : Capacité de ressentir les émotions de quelqu’un d’autre, d’arriver à se mettre à la place d’autrui). Essaie de comprendre pourquoi ton parent était violent. Si ton parent n’a jamais parlé de son enfance, c’est un signe qu’il s’est passé quelque chose de grave. Plus tu en sauras sur son enfance, plus tu pourras le comprendre et faire la paix avec ce parent.
  •  3e phase : La réconciliation, le pardon, si tu n’es pas capable de lui pardonner profondément, c’est que la 1re phase n’est pas complétée. Reviens à ta 1re phase et continue d’écrire. Si tu es capable de lui pardonner, écris tout ce que tu aimerais lui dire avec amour sans jugement. Dis-lui que tu comprends maintenant ces agissements, que tu l’aimes inconditionnellement. Si tu te sens capable de lui dire en personne, vas-y. Sinon le pardon se fera quand même par l’énergie qui circule de toi à lui.
  •  4e phase : Ensuite, brûle cette lettre, cela fait partie de ton passé. Va de l’avant, pose des actions pour changer le cours de ta vie, sans rancœur, libre du passé. Tu ressentiras une légèreté, un bien-être profond, une paix intérieure.

L’acceptation, la réconciliation, ne veut pas dire, pardonner le geste, le comportement. Plutôt, devenir empathique avec la personne, la comprendre, lui donner le droit d’avoir posé ce geste envers toi. Maintenant, tu sais que cette personne est blessée tout autant que toi

[1] MARTEL, JACQUES, Le grand dictionnaire des malaises et maladies, Édition ATMA internationales, Québec, 2006, no. Page 126

Tu as besoin d’aide, tu as besoin d’être guidé pour ta guérison ?

Carole Vallée 514.836.5222

QUE DÉCIDES-TU AUJOURD’HUI ? ÊTRE en PAIX, en SANTÉ en HARMONIE

ou ÊTRE MALADE, MALHEUREUX, ENRAGÉ ?

C’est TA VIE, c’est TOI QUI DÉCIDE !